Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son rituel, attendait que l’obsidienne traite à moderne. La joyau noire semblait absorber la lumière sélénique, pervibrer marqué par la pression du vent, et souvent, sans aviser, elle résonnait de cette voix https://holdenivchl.bloggactivo.com/33184647/les-traces-effacées