L’aube s’étendait mollement sur Venise, projetant une journée pâle à travers les lourds rideaux de velours. Dans la chambre silencieuse, le reflet semblait absorber toute la netteté, en tant qu' un puits sans fond. La magnanime vénitienne restait figée destinées à le support lisse du cristal, son regard verrouillé sur https://alexislxgnt.iyublog.com/33014331/le-faisceau-des-ombrages