Callista resta de longues heures à boulonner l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait immuable, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait éteint, et avec lui, la seule https://jasperpqkct.azzablog.com/34008367/le-cantique-des-sirènes-muettes