Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des sentiers battus par les sabots des chevaux et les pas des éleveurs, une femme vivait en retrait, à l’orée des fin. Sa domicile, bâtie de pierre et de filet tragique, exhalait toujours une odeur d’herbes https://johnnysfnsv.tokka-blog.com/33811167/les-obscurités-du-brasier-et-de-la-voyance