Le matin trouva Lauriana recroquevillée auprès des braises presque éteintes, encore enveloppée dans la température ténue d’un bouquet mourant. Elle se redressa doucement, chassant de ses paupières la tracasserie nocturne et caressa d’un fait protecteur la couverture du présente ancien qu’elle avait glissé sous sa face pour l'obscurité. Le ciel, https://griffinlomid.bloggosite.com/39897478/lauriana-voyance